Aujourd'hui, notre candidat Jean-Louis Gilles, épaulé des deux remplaçants
Marie Da Rocha et Gian-Luigi Armentano sont allés, avec le concours de
Michel, comme presque tous les jours depuis décembre à la rencontre des habitants. Ce fut une journée faible en
nombre de rencontre mais forte dans les discussions.
Des rencontres
aussi avec des non-inscrits chez qui nous avons un très bon accueil et
dont le contact payera surement sur le long terme.
Rencontre aussi
avec un boiteur FDG qui était plutôt pressé (l'humain d'abord en
effet). La première personne à avoir découvert son tract l'a mis
directement à la corbeille (photo dans l'album).
Et puis une
constante maintenant, les tracts du candidat socialiste sont soit à la
corbeille soit à terre manifestant d'un raz le bol de ces gens qu'on ne
voit que lors des élections et qui en réalité sont distant de la
population.
vendredi 27 février 2015
mercredi 25 février 2015
=TÉMOIGNAGE DE CÉCILE, NOUVELLE MILITANTE=
A CENON, notre équipe de militant reçoit un accueil toujours cordial, souvent chaleureux et parfois émouvant des habitants. Cécile, toute nouvelle militante partage avec nous son expérience du terrain:
"Inscrite à l'UPR depuis quelques semaines, l'intervention de Jean-Louis et de Luigi lors de la dernière réunion mensuelle (la première pour moi) m'a encouragée à sauter le pas ! J'ai donc choisi de consacrer deux après-midi à la découverte de Cenon et c'est une véritable rencontre avec moi-même que j'ai pu faire également. D'une simple adhérente" impuissante", je suis devenue une personne impliquée dans cette conquête du cœur de ceux qui, comme vous et moi, appellent de tous leurs vœux ce changement radical dans leur vie quotidienne, ce besoin vital de reconnaissance sans plus y croire ! Et c'est cet immense sentiment d'être "Utile", puissant conducteur d'énergie, qui m'a permis de leur parler d'espoir !... en leur inspirant l'envie d'être utile à leur tour, en nous rejoignant ! Alors vous aussi, rejoignez-nous dans cette magnifique aventure de conquête des coeurs et des âmes qui demain, porteront l'UPR vers sa véritable mission : être entendue, reconnue et suivie vers une véritable démocratie."
A CENON, notre équipe de militant reçoit un accueil toujours cordial, souvent chaleureux et parfois émouvant des habitants. Cécile, toute nouvelle militante partage avec nous son expérience du terrain:
"Inscrite à l'UPR depuis quelques semaines, l'intervention de Jean-Louis et de Luigi lors de la dernière réunion mensuelle (la première pour moi) m'a encouragée à sauter le pas ! J'ai donc choisi de consacrer deux après-midi à la découverte de Cenon et c'est une véritable rencontre avec moi-même que j'ai pu faire également. D'une simple adhérente" impuissante", je suis devenue une personne impliquée dans cette conquête du cœur de ceux qui, comme vous et moi, appellent de tous leurs vœux ce changement radical dans leur vie quotidienne, ce besoin vital de reconnaissance sans plus y croire ! Et c'est cet immense sentiment d'être "Utile", puissant conducteur d'énergie, qui m'a permis de leur parler d'espoir !... en leur inspirant l'envie d'être utile à leur tour, en nous rejoignant ! Alors vous aussi, rejoignez-nous dans cette magnifique aventure de conquête des coeurs et des âmes qui demain, porteront l'UPR vers sa véritable mission : être entendue, reconnue et suivie vers une véritable démocratie."
dimanche 22 février 2015
== COMMUNIQUÉ DE PRESSE == ÉLECTIONS DÉPARTEMENTALES : L’UPR PRÉSENTE DES CANDIDATS DANS 14 CANTONS.
OBJET : Élections départementales : l’UPR présente des candidats dans 14 cantons
TEXTE :
À l’occasion des élections départementales des 22 et 29 mars, l’Union Populaire Républicaine (UPR) présente des candidats dans 14 cantons répartis dans toute la France, aussi bien en milieu urbain que rural.
Pendant la campagne électorale, les candidats de l’UPR expliqueront que les Français ne dirigent plus leur propre pays et qu’une petite oligarchie prédatrice s’en est emparée par le biais des traités européens et de l’OTAN.
Ils démontreront que ni le gouvernement, ni les conseils régionaux, ni les conseils départementaux, ne sont en mesure de tirer les Français du déclin actuel et de les conduire à nouveau sur la voie du progrès social. Ils expliqueront qu’il n’y a dès lors qu’une seule façon de redresser notre niveau de vie, développer nos emplois, préserver nos acquis sociaux, nos services publics, nos terroirs, notre langue et notre diplomatie : c’est de faire sortir unilatéralement la France de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN.
Les candidats de l’UPR informeront aussi les électeurs du coût astronomique de la prétendue « construction européenne » pour les finances publiques et pour la croissance, qu’il s’agisse de la contribution nette de la France au budget européen – de 9,4 milliards d’euros en 2013 – ou des dépenses colossales engagées pour satisfaire aux règles européennes.
Les candidats de l’UPR dénonceront également le rôle joué par le trio « FN-UMP-PS », qui ment aux Français depuis des décennies en leur proposant une « autre Europe » illusoire. D'un côté, l’UMP, le PS et leurs satellites appliquent les politiques qui leur sont dictées depuis l’extérieur. De l’autre côté, le FN, qui ne propose jamais de sortir unilatéralement de l’Union européenne, ni de l’euro, ni de l’OTAN, sert de roue de secours à la dictature euro-atlantiste, en associant de façon scandaleuse l’idée de souveraineté nationale à des thèses d’extrême droite, et en en détournant ainsi tragiquement une large majorité des Français.
L’UPR insiste sur la résonance nationale des élections départementales. Certes, un élu de l’UPR ne pourra pas changer de manière significative le quotidien des Français. Mais aucun élu en mars ne le pourra non plus. Cependant, un conseiller départemental a le pouvoir de désigner les sénateurs, qui ont, avec les députés, le pouvoir de « détricoter » la Constitution et de ratifier les traités. Il a aussi, par le biais de son parrainage, le pouvoir de décider, au nom des électeurs du canton, qui aura le droit de se présenter à l’élection présidentielle et qui ne l’aura pas.
Les 14 cantons dans lesquels l’UPR présente des candidats sont les suivants :
Canton urbain
Candidate : Claire Koyama, demandeur d’emploi, 53 ans
Candidat : Éric Boizet, photographe, 53 ans
Canton urbain
Candidate : Patricia Memaj, Infirmière libérale, 52 ans
Candidat : Nicolas Douard, Auto-entrepreneur, 25 ans
Canton urbain
Candidate : Gwaenaelle Collin, étudiante en biologie, 21 ans
Candidat : Terence D., Correspondant UPR dans le Calvados, apprenti logistique, 24 ans
Canton rural
Candidate : Cécile Vendevogel, clerc de notaire, 36 ans
Candidat : David Pierson, Correspondant UPR dans le Doubs, Diététicien/éducateur sportif, 44 ans
Canton urbain
Candidate : Frédérique Mourgues, artiste plasticienne, 53 ans
Candidat : Thierry Barnabé, Correspondant UPR dans le Gard, professeur de technologie, 45 ans
Canton urbain + banlieue
Candidate : Anne Guillot, auto-entrepreneur, 43 ans
Candidat : Jean-Louis Gilles, dessinateur du bâtiment, 30 ans
Canton urbain
Candidate : Françoise Vergés, technicienne de maintenance électroménager, 41 ans
Candidat : Kemais Marzouk, chargé de clientèle, 32 ans
Canton urbain
Candidate : Julie Ramelot, Déléguée départementale UPR de Loire-Atlantique, ingénieur en micro-électronique, 31 ans
Candidat : Laurent Egron, cadre SNCF, 49 ans
Canton rural
Candidate : Véronique Bruder, vendeuse immobilier, 50 ans
Candidat : Yannick Herve, enseignant-chercheur, 53 ans
Canton rural
Candidate : Nathalie Eymard, auteur, 51 ans
Candidat : Maurice Aeply, retraité, 70 ans
Canton péri-urbain
Candidate : Muriel Hermier, secrétaire, 55 ans
Candidat : Paul-Henri Tartanson, Fonctionnaire-architecte, 57 ans
Canton rural
Candidate : Aurélie Marchal, sans emploi, 20 ans
Candidat : David Wentzel, Délégué départemental de l’UPR des Vosges, ambassadeur du tri, 29 ans
Canton rural
Candidate : Aurore Macé, juriste en milieu hospitalier, 31 ans
Candidat : Jonathan Vallart, Délégué départemental UPR du Territoire-de-Belfort, aide-soignant, 35 ans
Canton urbain + banlieue
Candidate : Isabelle Perrin, déléguée médicale, 52 ans
Candidat : Anthony Gérôme, assistant-social, 32 ans
----------------------------------------------------------------------------
TEXTE :
À l’occasion des élections départementales des 22 et 29 mars, l’Union Populaire Républicaine (UPR) présente des candidats dans 14 cantons répartis dans toute la France, aussi bien en milieu urbain que rural.
Pendant la campagne électorale, les candidats de l’UPR expliqueront que les Français ne dirigent plus leur propre pays et qu’une petite oligarchie prédatrice s’en est emparée par le biais des traités européens et de l’OTAN.
Ils démontreront que ni le gouvernement, ni les conseils régionaux, ni les conseils départementaux, ne sont en mesure de tirer les Français du déclin actuel et de les conduire à nouveau sur la voie du progrès social. Ils expliqueront qu’il n’y a dès lors qu’une seule façon de redresser notre niveau de vie, développer nos emplois, préserver nos acquis sociaux, nos services publics, nos terroirs, notre langue et notre diplomatie : c’est de faire sortir unilatéralement la France de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN.
Les candidats de l’UPR informeront aussi les électeurs du coût astronomique de la prétendue « construction européenne » pour les finances publiques et pour la croissance, qu’il s’agisse de la contribution nette de la France au budget européen – de 9,4 milliards d’euros en 2013 – ou des dépenses colossales engagées pour satisfaire aux règles européennes.
Les candidats de l’UPR dénonceront également le rôle joué par le trio « FN-UMP-PS », qui ment aux Français depuis des décennies en leur proposant une « autre Europe » illusoire. D'un côté, l’UMP, le PS et leurs satellites appliquent les politiques qui leur sont dictées depuis l’extérieur. De l’autre côté, le FN, qui ne propose jamais de sortir unilatéralement de l’Union européenne, ni de l’euro, ni de l’OTAN, sert de roue de secours à la dictature euro-atlantiste, en associant de façon scandaleuse l’idée de souveraineté nationale à des thèses d’extrême droite, et en en détournant ainsi tragiquement une large majorité des Français.
L’UPR insiste sur la résonance nationale des élections départementales. Certes, un élu de l’UPR ne pourra pas changer de manière significative le quotidien des Français. Mais aucun élu en mars ne le pourra non plus. Cependant, un conseiller départemental a le pouvoir de désigner les sénateurs, qui ont, avec les députés, le pouvoir de « détricoter » la Constitution et de ratifier les traités. Il a aussi, par le biais de son parrainage, le pouvoir de décider, au nom des électeurs du canton, qui aura le droit de se présenter à l’élection présidentielle et qui ne l’aura pas.
Les 14 cantons dans lesquels l’UPR présente des candidats sont les suivants :
- Alpes-Maritimes (06) : Canton de Nice - 9
Canton urbain
Candidate : Claire Koyama, demandeur d’emploi, 53 ans
Candidat : Éric Boizet, photographe, 53 ans
- Bouches-du-Rhône (13) : Canton de Marseille -11
Canton urbain
Candidate : Patricia Memaj, Infirmière libérale, 52 ans
Candidat : Nicolas Douard, Auto-entrepreneur, 25 ans
- Calvados (14) : Canton de Caen - 3
Canton urbain
Candidate : Gwaenaelle Collin, étudiante en biologie, 21 ans
Candidat : Terence D., Correspondant UPR dans le Calvados, apprenti logistique, 24 ans
- Canton de Bethoncourt, Doubs (25)
Canton rural
Candidate : Cécile Vendevogel, clerc de notaire, 36 ans
Candidat : David Pierson, Correspondant UPR dans le Doubs, Diététicien/éducateur sportif, 44 ans
- Gard (30) : Canton de Nîmes-1
Canton urbain
Candidate : Frédérique Mourgues, artiste plasticienne, 53 ans
Candidat : Thierry Barnabé, Correspondant UPR dans le Gard, professeur de technologie, 45 ans
- Gironde (33) : Canton de Cenon
Canton urbain + banlieue
Candidate : Anne Guillot, auto-entrepreneur, 43 ans
Candidat : Jean-Louis Gilles, dessinateur du bâtiment, 30 ans
- Indre-et-Loire (37) : Canton de Joué-Lès-Tours
Canton urbain
Candidate : Françoise Vergés, technicienne de maintenance électroménager, 41 ans
Candidat : Kemais Marzouk, chargé de clientèle, 32 ans
- Loire-Atlantique (44) : Canton de Saint-Herblain - 1
Canton urbain
Candidate : Julie Ramelot, Déléguée départementale UPR de Loire-Atlantique, ingénieur en micro-électronique, 31 ans
Candidat : Laurent Egron, cadre SNCF, 49 ans
- Bas-Rhin (67) : Canton de Erstein
Canton rural
Candidate : Véronique Bruder, vendeuse immobilier, 50 ans
Candidat : Yannick Herve, enseignant-chercheur, 53 ans
- Var (83) : Canton de Solliès-Pont
Canton rural
Candidate : Nathalie Eymard, auteur, 51 ans
Candidat : Maurice Aeply, retraité, 70 ans
- Vaucluse (84) : Canton de Monteux
Canton péri-urbain
Candidate : Muriel Hermier, secrétaire, 55 ans
Candidat : Paul-Henri Tartanson, Fonctionnaire-architecte, 57 ans
- Vosges (88) : Canton de Saint-Dié-des-Vosges - 1
Canton rural
Candidate : Aurélie Marchal, sans emploi, 20 ans
Candidat : David Wentzel, Délégué départemental de l’UPR des Vosges, ambassadeur du tri, 29 ans
- Territoire-de-Belfort (90) : Canton de Grandvillars
Canton rural
Candidate : Aurore Macé, juriste en milieu hospitalier, 31 ans
Candidat : Jonathan Vallart, Délégué départemental UPR du Territoire-de-Belfort, aide-soignant, 35 ans
- Val d’Oise (95) : Canton de Sarcelles
Canton urbain + banlieue
Candidate : Isabelle Perrin, déléguée médicale, 52 ans
Candidat : Anthony Gérôme, assistant-social, 32 ans
----------------------------------------------------------------------------
Boitage et collage dimanche 22/02/2015
Pour la bonne cause et en plus très salutaire:
Journée boitage dans le nord du canton de Cenon jusqu'à la nuit tombée, plusieurs kilomètres de parcourus. Quelques affiches ont également été collées.
Tout ça par nos volontaires Jean-Louis, Michel et Gian-Luigi ! Bravo à eux !
Journée boitage dans le nord du canton de Cenon jusqu'à la nuit tombée, plusieurs kilomètres de parcourus. Quelques affiches ont également été collées.
Tout ça par nos volontaires Jean-Louis, Michel et Gian-Luigi ! Bravo à eux !
Ici, nous avons trouvé qu'une affiche collée la veille a été arrachée |
Il fallait donc corriger le tir, surtout place Jean Moulin, que les couleurs de la résistance soient visible à nouveau. |
On sent le geste précis de Michel !! |
Des tracts du PS retrouvé à terre.. ils ne sont apparemment pas apprécié par tout le monde.. |
Une dernière affiche collée avant de rentrer de cette belle et longue journée |
Table d'information samedi 21 février à Floirac Dravemont
Nous y serons tous les samedi après midi pendant la campagne !
Voici quelques photos de notre belle table d'information qui a intéressé pas mal de personnes. Un bravo à Jean-Louis, Benoit, Alain, Marie, Michel et Gian-Luigi qui l'ont tenu.
Marie et Michel sont également allés coller des affiches ce samedi dont quelques photos sont sur l'album, bravo pour leur double tache !
Voici quelques photos de notre belle table d'information qui a intéressé pas mal de personnes. Un bravo à Jean-Louis, Benoit, Alain, Marie, Michel et Gian-Luigi qui l'ont tenu.
Marie et Michel sont également allés coller des affiches ce samedi dont quelques photos sont sur l'album, bravo pour leur double tache !
mardi 17 février 2015
== COMMUNIQUÉ DE PRESSE == ÉLECTIONS DÉPARTEMENTALES : L’UPR PRÉSENTE DES CANDIDATS DANS 14 CANTONS.
OBJET : Élections départementales : l’UPR présente des candidats dans 14 cantons
TEXTE :
À l’occasion des élections départementales des 22 et 29 mars, l’Union Populaire Républicaine (UPR) présente des candidats dans 14 cantons répartis dans toute la France, aussi bien en milieu urbain que rural.
Pendant la campagne électorale, les candidats de l’UPR expliqueront que les Français ne dirigent plus leur propre pays et qu’une petite oligarchie prédatrice s’en est emparée par le biais des traités européens et de l’OTAN.
Ils démontreront que ni le gouvernement, ni les conseils régionaux, ni les conseils départementaux, ne sont en mesure de tirer les Français du déclin actuel et de les conduire à nouveau sur la voie du progrès social. Ils expliqueront qu’il n’y a dès lors qu’une seule façon de redresser notre niveau de vie, développer nos emplois, préserver nos acquis sociaux, nos services publics, nos terroirs, notre langue et notre diplomatie : c’est de faire sortir unilatéralement la France de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN.
Les candidats de l’UPR informeront aussi les électeurs du coût astronomique de la prétendue « construction européenne » pour les finances publiques et pour la croissance, qu’il s’agisse de la contribution nette de la France au budget européen – de 9,4 milliards d’euros en 2013 – ou des dépenses colossales engagées pour satisfaire aux règles européennes.
Les candidats de l’UPR dénonceront également le rôle joué par le trio « FN-UMP-PS », qui ment aux Français depuis des décennies en leur proposant une « autre Europe » illusoire. D'un côté, l’UMP, le PS et leurs satellites appliquent les politiques qui leur sont dictées depuis l’extérieur. De l’autre côté, le FN, qui ne propose jamais de sortir unilatéralement de l’Union européenne, ni de l’euro, ni de l’OTAN, sert de roue de secours à la dictature euro-atlantiste, en associant de façon scandaleuse l’idée de souveraineté nationale à des thèses d’extrême droite, et en en détournant ainsi tragiquement une large majorité des Français.
L’UPR insiste sur la résonance nationale des élections départementales. Certes, un élu de l’UPR ne pourra pas changer de manière significative le quotidien des Français. Mais aucun élu en mars ne le pourra non plus. Cependant, un conseiller départemental a le pouvoir de désigner les sénateurs, qui ont, avec les députés, le pouvoir de « détricoter » la Constitution et de ratifier les traités. Il a aussi, par le biais de son parrainage, le pouvoir de décider, au nom des électeurs du canton, qui aura le droit de se présenter à l’élection présidentielle et qui ne l’aura pas.
Les 14 cantons dans lesquels l’UPR présente des candidats sont les suivants :
Alpes-Maritimes (06) : Canton de Nice - 9
Canton urbain
Candidate : Claire Koyama, demandeur d’emploi, 53 ans
Candidat : Éric Boizet, photographe, 53 ans
Bouches-du-Rhône (13) : Canton de Marseille -11
Canton urbain
Candidate : Patricia Memaj, Infirmière libérale, 52 ans
Candidat : Nicolas Douard, Auto-entrepreneur, 25 ans
Calvados (14) : Canton de Caen - 3
Canton urbain
Candidate : Gwaenaelle Collin, étudiante en biologie, 21 ans
Candidat : Terence D., Correspondant UPR dans le Calvados, apprenti logistique, 24 ans
Canton de Bethoncourt, Doubs (25)
Canton rural
Candidate : Cécile Vendevogel, clerc de notaire, 36 ans
Candidat : David Pierson, Correspondant UPR dans le Doubs, Diététicien/éducateur sportif, 44 ans
Gard (30) : Canton de Nîmes-1
Canton urbain
Candidate : Frédérique Mourgues, artiste plasticienne, 53 ans
Candidat : Thierry Barnabé, Correspondant UPR dans le Gard, professeur de technologie, 45 ans
Gironde (33) : Canton de Cenon
Canton urbain + banlieue
Candidate : Anne Guillot, auto-entrepreneur, 43 ans
Candidat : Jean-Louis Gilles, dessinateur du bâtiment, 30 ans
Indre-et-Loire (37) : Canton de Joué-Lès-Tours
Canton urbain
Candidate : Françoise Vergés, technicienne de maintenance électroménager, 41 ans
Candidat : Kemais Marzouk, chargé de clientèle, 32 ans
Loire-Atlantique (44) : Canton de Saint-Herblain - 1
Canton urbain
Candidate : Julie Ramelot, Déléguée départementale UPR de Loire-Atlantique, ingénieur en micro-électronique, 31 ans
Candidat : Laurent Egron, cadre SNCF, 49 ans
Bas-Rhin (67) : Canton de Erstein
Canton rural
Candidate : Véronique Bruder, vendeuse immobilier, 50 ans
Candidat : Yannick Herve, enseignant-chercheur, 53 ans
Var (83) : Canton de Solliès-Pont
Canton rural
Candidate : Nathalie Eymard, auteur, 51 ans
Candidat : Maurice Aeply, retraité, 70 ans
Vaucluse (84) : Canton de Monteux
Canton péri-urbain
Candidate : Muriel Hermier, secrétaire, 55 ans
Candidat : Paul-Henri Tartanson, Fonctionnaire-architecte, 57 ans
Vosges (88) : Canton de Saint-Dié-des-Vosges - 1
Canton rural
Candidate : Aurélie Marchal, sans emploi, 20 ans
Candidat : David Wentzel, Délégué départemental de l’UPR des Vosges, ambassadeur du tri, 29 ans
Territoire-de-Belfort (90) : Canton de Grandvillars
Canton rural
Candidate : Aurore Macé, juriste en milieu hospitalier, 31 ans
Candidat : Jonathan Vallart, Délégué départemental UPR du Territoire-de-Belfort, aide-soignant, 35 ans
Val d’Oise (95) : Canton de Sarcelles
Canton urbain + banlieue
Candidate : Isabelle Perrin, déléguée médicale, 52 ans
Candidat : Anthony Gérôme, assistant-social, 32 ans
----------------------------------------------------------------------------
TEXTE :
À l’occasion des élections départementales des 22 et 29 mars, l’Union Populaire Républicaine (UPR) présente des candidats dans 14 cantons répartis dans toute la France, aussi bien en milieu urbain que rural.
Pendant la campagne électorale, les candidats de l’UPR expliqueront que les Français ne dirigent plus leur propre pays et qu’une petite oligarchie prédatrice s’en est emparée par le biais des traités européens et de l’OTAN.
Ils démontreront que ni le gouvernement, ni les conseils régionaux, ni les conseils départementaux, ne sont en mesure de tirer les Français du déclin actuel et de les conduire à nouveau sur la voie du progrès social. Ils expliqueront qu’il n’y a dès lors qu’une seule façon de redresser notre niveau de vie, développer nos emplois, préserver nos acquis sociaux, nos services publics, nos terroirs, notre langue et notre diplomatie : c’est de faire sortir unilatéralement la France de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN.
Les candidats de l’UPR informeront aussi les électeurs du coût astronomique de la prétendue « construction européenne » pour les finances publiques et pour la croissance, qu’il s’agisse de la contribution nette de la France au budget européen – de 9,4 milliards d’euros en 2013 – ou des dépenses colossales engagées pour satisfaire aux règles européennes.
Les candidats de l’UPR dénonceront également le rôle joué par le trio « FN-UMP-PS », qui ment aux Français depuis des décennies en leur proposant une « autre Europe » illusoire. D'un côté, l’UMP, le PS et leurs satellites appliquent les politiques qui leur sont dictées depuis l’extérieur. De l’autre côté, le FN, qui ne propose jamais de sortir unilatéralement de l’Union européenne, ni de l’euro, ni de l’OTAN, sert de roue de secours à la dictature euro-atlantiste, en associant de façon scandaleuse l’idée de souveraineté nationale à des thèses d’extrême droite, et en en détournant ainsi tragiquement une large majorité des Français.
L’UPR insiste sur la résonance nationale des élections départementales. Certes, un élu de l’UPR ne pourra pas changer de manière significative le quotidien des Français. Mais aucun élu en mars ne le pourra non plus. Cependant, un conseiller départemental a le pouvoir de désigner les sénateurs, qui ont, avec les députés, le pouvoir de « détricoter » la Constitution et de ratifier les traités. Il a aussi, par le biais de son parrainage, le pouvoir de décider, au nom des électeurs du canton, qui aura le droit de se présenter à l’élection présidentielle et qui ne l’aura pas.
Les 14 cantons dans lesquels l’UPR présente des candidats sont les suivants :
Alpes-Maritimes (06) : Canton de Nice - 9
Canton urbain
Candidate : Claire Koyama, demandeur d’emploi, 53 ans
Candidat : Éric Boizet, photographe, 53 ans
Bouches-du-Rhône (13) : Canton de Marseille -11
Canton urbain
Candidate : Patricia Memaj, Infirmière libérale, 52 ans
Candidat : Nicolas Douard, Auto-entrepreneur, 25 ans
Calvados (14) : Canton de Caen - 3
Canton urbain
Candidate : Gwaenaelle Collin, étudiante en biologie, 21 ans
Candidat : Terence D., Correspondant UPR dans le Calvados, apprenti logistique, 24 ans
Canton de Bethoncourt, Doubs (25)
Canton rural
Candidate : Cécile Vendevogel, clerc de notaire, 36 ans
Candidat : David Pierson, Correspondant UPR dans le Doubs, Diététicien/éducateur sportif, 44 ans
Gard (30) : Canton de Nîmes-1
Canton urbain
Candidate : Frédérique Mourgues, artiste plasticienne, 53 ans
Candidat : Thierry Barnabé, Correspondant UPR dans le Gard, professeur de technologie, 45 ans
Gironde (33) : Canton de Cenon
Canton urbain + banlieue
Candidate : Anne Guillot, auto-entrepreneur, 43 ans
Candidat : Jean-Louis Gilles, dessinateur du bâtiment, 30 ans
Indre-et-Loire (37) : Canton de Joué-Lès-Tours
Canton urbain
Candidate : Françoise Vergés, technicienne de maintenance électroménager, 41 ans
Candidat : Kemais Marzouk, chargé de clientèle, 32 ans
Loire-Atlantique (44) : Canton de Saint-Herblain - 1
Canton urbain
Candidate : Julie Ramelot, Déléguée départementale UPR de Loire-Atlantique, ingénieur en micro-électronique, 31 ans
Candidat : Laurent Egron, cadre SNCF, 49 ans
Bas-Rhin (67) : Canton de Erstein
Canton rural
Candidate : Véronique Bruder, vendeuse immobilier, 50 ans
Candidat : Yannick Herve, enseignant-chercheur, 53 ans
Var (83) : Canton de Solliès-Pont
Canton rural
Candidate : Nathalie Eymard, auteur, 51 ans
Candidat : Maurice Aeply, retraité, 70 ans
Vaucluse (84) : Canton de Monteux
Canton péri-urbain
Candidate : Muriel Hermier, secrétaire, 55 ans
Candidat : Paul-Henri Tartanson, Fonctionnaire-architecte, 57 ans
Vosges (88) : Canton de Saint-Dié-des-Vosges - 1
Canton rural
Candidate : Aurélie Marchal, sans emploi, 20 ans
Candidat : David Wentzel, Délégué départemental de l’UPR des Vosges, ambassadeur du tri, 29 ans
Territoire-de-Belfort (90) : Canton de Grandvillars
Canton rural
Candidate : Aurore Macé, juriste en milieu hospitalier, 31 ans
Candidat : Jonathan Vallart, Délégué départemental UPR du Territoire-de-Belfort, aide-soignant, 35 ans
Val d’Oise (95) : Canton de Sarcelles
Canton urbain + banlieue
Candidate : Isabelle Perrin, déléguée médicale, 52 ans
Candidat : Anthony Gérôme, assistant-social, 32 ans
----------------------------------------------------------------------------
dimanche 15 février 2015
Table d'information Floirac Dravemont Samedi 14.02.2015
Nous avons à nouveau présenté une table d'information à Floirac Dravemont ce samedi 14 février 2015, avec nos nouveaux tracts et notre célèbre jeu de dés.
L'UPR est très présente sur le terrain.
Les habitants sont agréablement surpris qu'un mouvement de rassemblement de tous les citoyens Français comme le nôtre, aussi neutre au niveau du clivage, tienne un discours et des propositions qui correspondent à ce point à ce qu'ils pensent et souhaitent pour leur avenir.
Plutôt que de noyer la population dans un flot de slogans purement interprétables, nous nous adressons directement à l'intelligence des Français et apportons de vraies analyses, des faits, avec preuves et textes à l'appui, et apportons des solutions que nous démontrons comme concrètement applicables.
C'est ce que demande le peuple depuis si longtemps, ils nous le disent, et nous encouragent vivement à poursuivre.
L'UPR est très présente sur le terrain.
Les habitants sont agréablement surpris qu'un mouvement de rassemblement de tous les citoyens Français comme le nôtre, aussi neutre au niveau du clivage, tienne un discours et des propositions qui correspondent à ce point à ce qu'ils pensent et souhaitent pour leur avenir.
Plutôt que de noyer la population dans un flot de slogans purement interprétables, nous nous adressons directement à l'intelligence des Français et apportons de vraies analyses, des faits, avec preuves et textes à l'appui, et apportons des solutions que nous démontrons comme concrètement applicables.
C'est ce que demande le peuple depuis si longtemps, ils nous le disent, et nous encouragent vivement à poursuivre.
lundi 9 février 2015
UPR59 / 62 - CONFERENCE FRANÇOIS ASSELINEAU A WANCOURT ( ARRAS ).
Une table d'information tenu samedi 7 février à Floirac Dravemont
Les gens sont toujours en majorité heureux d'avoir parlé avec nous et d'avoir découvert notre mouvement. C'est aussi très gratifiant de recevoir des encouragements.
La campagne pour les élections départementales de mars bat son plein
== RÉUNION MENSUELLE, ATHÉNÉE MUNICIPAL DE BORDEAUX, MERCREDI 11 FÉVRIER, DE 19H30 À 22H ==
- Nous accueillerons à bras ouverts les nouveaux adhérents et sympathisants, toujours de plus en plus nombreux en Gironde.
- Puis surtout, nous parlerons de notre campagne pour l'élection départementale du canton de Cenon/Floirac/Bouliac et vous donnerons des nouvelles du terrain, etc.
- Nous avons de nouvelles choses à vous dire et à vous montrer ! Venez donc nombreux ce mercredi.
Adhérents, pour plus de détails, lisez votre courriel de rendez-vous.
Le combat que nous menons est aussi le vôtre : c’est celui de l’avenir de notre pays et de nos enfants.
_____
• DATE ET LIEU :
mercredi 11 février 2015 de 19h30 à 22h
à l'Athénée Municipal
place Saint-Christoly
33000 BORDEAUX
Tramways A et B, station "Hôtel-de-Ville".
• Localisation sur Google Maps :
https://www.google.fr/maps/ place/Athénée+Municipal/ @44.839829,-0.577205,573m/ data=!3m2!1e3!4b1!4m2!3m1!1s0xd 5527db54fa1269:0x927f5e7ea3fbc a9
• Plan des transports :
http://www.infotbc.com/sites/ default/files/ ABRIBUS_SEMI_SCHEMA_JANV2015_WE B.pdf
- Puis surtout, nous parlerons de notre campagne pour l'élection départementale du canton de Cenon/Floirac/Bouliac et vous donnerons des nouvelles du terrain, etc.
- Nous avons de nouvelles choses à vous dire et à vous montrer ! Venez donc nombreux ce mercredi.
Adhérents, pour plus de détails, lisez votre courriel de rendez-vous.
Le combat que nous menons est aussi le vôtre : c’est celui de l’avenir de notre pays et de nos enfants.
_____
• DATE ET LIEU :
mercredi 11 février 2015 de 19h30 à 22h
à l'Athénée Municipal
place Saint-Christoly
33000 BORDEAUX
Tramways A et B, station "Hôtel-de-Ville".
• Localisation sur Google Maps :
https://www.google.fr/maps/
• Plan des transports :
http://www.infotbc.com/sites/
Conférence de Charles-Henri Gallois à St Brieuc (22)
Charles-Henri Gallois présentera une conférence intitulée « L’union européenne: les illusions économiques »
Il abordera les questions de l’euro, du TAFTA, de la création monétaire et de la dépense publique.
Le samedi 28 février de 19h00 à 22h00 à la maison du temps libre Salle Ogival
6, bis rue du mal Foch, St Brieuc, 22000 France Metropolitaine
Tous les évenements nationnaux ici:
Il abordera les questions de l’euro, du TAFTA, de la création monétaire et de la dépense publique.
Le samedi 28 février de 19h00 à 22h00 à la maison du temps libre Salle Ogival
6, bis rue du mal Foch, St Brieuc, 22000 France Metropolitaine
Tous les évenements nationnaux ici:
== PREMIÈRE RÉUNION MENSUELLE GIRONDINE DE 2015 == MERCREDI 14 JANVIER, DÈS 19H30
Un nouvel an commence. L'UPR GIRONDE VOUS SOUHAITE TOUS LES MEILLEURS VOEUX ET UNE HEUREUSE ANNÉE 2015.
Réunissons-nous à la première réunion mensuelle de l'année :
mercredi 14 janvier de 19h30 à 22h30
à l'Athénée Municipal
place Saint-Christoly
33000 BORDEAUX
Tramways A et B, station "Hôtel-de-Ville".
• Localisation sur Google Maps :
https://www.google.fr/maps/ place/Athénée+Municipal/ @44.839829,-0.577205,573m/ data=!3m2!1e3!4b1!4m2!3m1!1s0xd 5527db54fa1269:0x927f5e7ea3fbc a9
• Plan des transports :
http://www.infotbc.com/sites/ default/files/ ABRIBUS_SEMI_SCHEMA_AOUT2014_WE B.pdf
Réunissons-nous à la première réunion mensuelle de l'année :
mercredi 14 janvier de 19h30 à 22h30
à l'Athénée Municipal
place Saint-Christoly
33000 BORDEAUX
Tramways A et B, station "Hôtel-de-Ville".
• Localisation sur Google Maps :
https://www.google.fr/maps/
• Plan des transports :
http://www.infotbc.com/sites/
Conférence de Valérie Bugault à Evry (91)
Conférence de Valérie Bugault à Evry (91)
vendredi 13 fév @17 h 00 min - 19 h 30 min
Navigation de l'événement
Valérie Bugault analysera les grandes tendances de l’UE :
1) La liberté professionnelle
2) La liberté de circulation des marchandises
3) La liberté de circulation des capitaux et son corrolaire (l’organisation des paradis fiscaux)
4) L’assujettissement militaire à l’OTAN et ses conséquences en France
2) La liberté de circulation des marchandises
3) La liberté de circulation des capitaux et son corrolaire (l’organisation des paradis fiscaux)
4) L’assujettissement militaire à l’OTAN et ses conséquences en France
le calendrier complet des rendez-vous en France ici:
L’UPR RAPPELLE À MM. VALLS ET FABIUS QUE LE PRINCIPE MÊME DE LA CONSTRUCTION EUROPÉENNE EST CELUI D'UN « APARTHEID » PLANÉTAIRE.
Objet : L’UPR rappelle à MM. Valls, Fabius, et à tous les européistes de droite et de gauche, que le principe même de la « construction européenne » est celui d'un « apartheid » planétaire qui n'ose pas dire son nom.
-------------------------------------
Texte : Depuis quelques heures, le microcosme politique et médiatique français ne bruisse que de la dernière déclaration du Premier ministre qui a déploré l'existence, selon lui, d'un « apartheid territorial, social, ethnique » en France.
Les dirigeants politiques de plusieurs formations, notamment du PS, ont critiqué cette expression en estimant que, si l'on pouvait certes parler de « ségrégation », il était abusif d’employer le terme « d’apartheid » puisque cette politique sud-africaine, officiellement mise en œuvre après la Seconde Guerre mondiale, supposerait qu'il existe un support juridique à la discrimination.
Le ministre des affaires étrangères Laurent Fabius a ainsi déclaré sur RTL que « Manuel Valls a voulu dire qu'il y a une ségrégation. L'apartheid, juridiquement, ça voulait dire que les Noirs n'avaient pas les mêmes droits que les Blancs. En France, il n'y a pas de ségrégation juridique. » (http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/21/97001-20150121FILWWW00058-pour-laurent-fabius-pas-d-apartheid-en-france.php )
L’UPR renvoie dos à dos MM. Valls et Fabius, ainsi que les dirigeants de l’UMP et de l’UDI qui ont eu des vapeurs en entendant le mot « d’apartheid » (http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/citations/2015/01/20/25002-20150120ARTFIG00369-l-allusion-de-manuel-valls-a-l-apartheid-social-irrite-la-droite.php ).
L’UPR rappelle en effet à tous ces Tartuffes de l’européisme, droite et gauche confondues, que la politique stratégique qu'ils appliquent à la France depuis plusieurs décennies, qui vise à faire disparaître la France dans un État-continent, est en réalité fondée sur des présupposés qu'ils se gardent bien d'expliciter.
Ils nous assurent que notre avenir passerait par une fusion avec l'Estonie, la Slovaquie, l'Angleterre, la Bulgarie ou les Pays-Bas ; dans ce but, ils nous coupent progressivement de nos amitiés traditionnelles avec les pays de la Francophonie, du monde slave, du monde arabe et musulman, de la Chine, de l'Amérique Latine...
Mais pourquoi donc ?
L’UPR note que l’un des arguments favoris des européistes pour justifier ce choix stratégique, consiste régulièrement à faire peur aux Français en brandissant les menaces que les autres parties du monde (Russie, Chine, Inde, monde musulman, etc.) feraient peser sur eux.
Un clip vidéo conçu et financé récemment par la Commission européenne pour promouvoir l’élargissement de l’UE a provoqué un scandale international et a dû être retiré précipitamment, justement sous l'accusation de racisme. Elle mettait en effet en scène le viol symbolique d’une femme blanche - symbolisant l'Europe - par un Chinois, un Indien et un Latino-Américain.
De nombreuses protestations, émanant notamment des ambassades des pays visés, jetèrent à cette occasion une lumière crue sur le raisonnement raciste latent inhérent au principe même de la prétendue « construction européenne » ( https://www.upr.fr/actualite/europe/le-choc-des-civilisations-prone-dans-un-clip-de-la-commission-europeenne )
La quintessence même de la « construction européenne » revient ainsi à bâtir une sorte « d’apartheid planétaire » honteux. Il n'ose certes pas dire son nom, mais il existe pourtant bel et bien, que ce soit aux plans juridique, économique, commercial, monétaire, diplomatique, militaire, etc. (cf. par exemple la conférence donnée par François ASSELINEAU à l’université Libre de Belgique le 16 mai 2013 à Bruxelles à partir de 21’47’’ : https://www.youtube.com/watch?v=jXjnlLRM8LY )
------------------------------
La déclaration du Premier ministre et les remous qu'elle provoque conduisent l’UPR à rappeler que l’idée même des « États-Unis d'Europe », lancée par Victor Hugo il y a 165 ans au Congrès de la Paix du 21 août 1849, fut fondée, dès l’origine, sur un racisme répugnant et une volonté de domination mondiale partagée avec les États-Unis d'Amérique.
Dans son discours - régulièrement célébré par les actuels dirigeants français de droite et de gauche ! (voir https://www.upr.fr/non-classe/chanter-les-louanges-de-victor-hugo ) -, Victor Hugo annonçait en effet que les « États-Unis d'Europe » permettraient de « tendre la main aux États-Unis d'Amérique » afin d’« élargir sans cesse le groupe civilisé » et de « donner le bon exemple aux peuples encore barbares » par un grand élan colonisateur : « Oui, la face du monde serait changée ! Au lieu de se déchirer entre soi, on se répandrait pacifiquement sur l’univers ! Au lieu de faire des révolutions, on ferait des colonies ! Au lieu d’apporter la barbarie à la civilisation, on apporterait la civilisation à la barbarie ! ». Ainsi, « l’Asie serait rendue à la civilisation, l’Afrique serait rendue à l’homme ». (cf. https://www.upr.fr/dossiers-de-fond/victor-hugo-et-l-europe )
L’UPR souligne que, de nos jours, les partisans de la prétendue « construction européenne » continuent, au fond, à raisonner plus ou moins consciemment comme Victor Hugo il y a 165 ans :
- Ils affirment en effet constamment que nous partagerions les « mêmes valeurs » que les États-Unis d'Amérique, alors que ce pays pratiquait encore juridiquement l’apartheid dans les années 1960, que la ségrégation raciale y exerce toujours des ravages en 2015, qu'il utilise le privilège monétaire du dollar pour piller sans vergogne les ressources des pays pauvres du sud, et qu'il entretient une armée surpuissante qui lui permet d’être le seul pays au monde continuellement en guerre depuis 1941 ;
- Ils affirment que nous partagerions les « mêmes valeurs » que les gouvernements estonien, letton, ou ukrainien, lesquels commémorent officiellement le combat des Waffen-SS pendant la Deuxième Guerre mondiale, ou ont constitué des coalitions gouvernementales avec des partis néo-nazis (cf. http://www.francoisasselineau.fr/2014/03/lupr-exige-que-le-gouvernement-francais.html ) ;
- Au nom des «valeurs communes européennes », MM. Valls et Fabius soutiennent d'ailleurs ardemment tous les États européens aux sympathies nazies affichées. Tellement ardemment qu’ils ont osé donner consigne à l’ambassadeur de France à l’ONU, lors du vote d’une résolution déposée par la Russie à l’Assemblée Générale des Nations Unies, de refuser de condamner la glorification du nazisme par l’Estonie, la Lettonie et l’Ukraine, en isolant ainsi le pays de Jaurès et de Charles de Gaulle de l’écrasante majorité des États du monde. (https://www.upr.fr/communiques-de-presse/le-gouvernement-francais-en-refusant-nouveau-de-condamner-la-glorification-du-nazisme-lonu-confirme-quil-est-le-gouvernement-le-plus-lextreme-droite-depuis-vichy ) ;
- Plus généralement, la politique de « construction européenne » revient à enfermer la France dans un périmètre géographique factice, dont la seule justification est implicitement ségrégationniste et racialiste. En vertu de quoi, par exemple, notre pays verse-t-il, par l’intermédiaire des circuits de financement européen, entre 80 et 200 fois plus d’aide par habitant à Malte, à Chypre ou à la Lettonie qu’au Maroc, à la Tunisie ou au Mali ?
Ces choix politiques et financiers sont triplement scandaleux :
- d'abord parce que la France a des responsabilités historiques et est beaucoup plus proche, à bien des égards, des pays francophones du Maghreb ou d’Afrique, que des pays baltes ou d’Europe de l’est ;
- ensuite parce que les pays du Maghreb ou d’Afrique sont beaucoup plus nécessiteux d’aide financière que les pays d’Europe de l’est ;
- enfin parce que les fonds versés par la France à l’UE proviennent notamment de recettes de droits de douane et de TVA, acquittés par tous les résidents en France, et notamment par des centaines de milliers de ressortissants des pays du Sud.
APARTHEID = « EUROPEANS ONLY »
- A gauche : scène de rue en Afrique du sud en 1960, du temps de l’apartheid. La ségrégation raciale conduisait à séparer les espaces publics entre ceux réservés aux Blancs et ceux réservés aux « Coloured » (Noirs, Indiens, métis…). Comme le montre ce cliché, l’expression « Europeans only » était fréquemment utilisée comme euphémisme à la place de « White only ».
- A droite : formalités de police des frontières à l'aéroport de Stockholm (Suède) en 2010. Comme dans tous les aéroports des pays membres de l'UE, le public est séparé entre « Europeans only » et les autres. Qu’on le veuille ou pas, le concept même de « construction européenne » – et son corollaire la « citoyenneté européenne » – sont inspirés de la même pensée ségrégationniste que celle de l’apartheid. La théorie du « Choc des Civilisations »est assimilable à un apartheid planétaire.
-----------------------
Seule sur toute la scène politique française, l’UPR dénonce le principe même de la construction européenne comme étant fondé sur une vision désuète, implicitement racialiste, anxiogène et guerrière de l’univers.
Seule l'UPR souligne l'incohérence et l'inconscience qu'il y a à afficher des valeurs républicaines d'égalité et de prétendre lutter contre l'apartheid en France, tout en approuvant, au niveau planétaire, les inégalités et l'apartheid implicites inhérents au prétendu « monde multipolaire » que l'on veut nous imposer.
Seule l'UPR souligne que ce projet de « construction européenne » est destiné à devenir un ensemble euro-atlantiste piloté par les Anglo-Saxons et placé sous la direction de Washington si les projets de traités TAFTA et autres vont jusqu'à leur terme logique.
Seule l'UPR souligne que ce projet de « construction européenne » s'inscrit ainsi dans la théorie du « Choc des Civilisations », chère aux Docteurs Folamour du Pentagone et du Département d’État américain.
Dès sa Charte fondatrice adoptée le 25 mars 2007, l’UPR a « affirmé solennellement qu’en ce XXIe siècle qui voit le triomphe des échanges et des communications d’un bout à l’autre du globe, la seule instance internationale légitime est plus que jamais l’Organisation des Nations Unies, dont le principe éthique suprême est de traiter tous les peuples et toutes les nations sur un strict pied d’égalité. L’idée même de construire, de gré ou de force, un empire européen – ou euro-atlantique – qui inclurait certaines nations et en exclurait toutes les autres constitue une erreur tragique et un contresens historique majeur, dont les conséquences sur la paix mondiale pourraient être redoutables.
C’est pourquoi l’UPR entend promouvoir les coopérations internationales de toute nature avec tous les États de la planète, sans procéder à une quelconque distinction, moralement et éthiquement suspecte, en fonction de leur appartenance ou non au continent européen. L’UPR rappelle à ce propos que les définitions des continents sont de pures conventions géographiques, qui ne correspondent nullement aux affinités et aux échanges entre les États du globe. » (cf. https://www.upr.fr/charte-fondatrice )
------------------
L’UPR n’a ainsi pas attendu Manuel Valls pour dénoncer l’existence d’un « apartheid ». Mais l’UPR le place au vrai niveau qui est le sien : le niveau planétaire.
Et cet apartheid-là, Manuel Valls et tous les partisans de la prétendue « construction européenne », consciemment ou inconsciemment, l’approuvent.
"BISPHÉNOL A" : LA PRÉTENDUE "CONSTRUCTION EUROPÉENNE" SATISFAIT LES LOBBYS INDUSTRIELS PLUTÔT QUE L’IMPÉRATIF DE SANTÉ PUBLIQUE
TEXTE :
Le 21 janvier 2015, « l’Autorité européenne pour la sécurité des aliments » (AESA) a jugé que le composé organique dit « Bisphénol A » (BPA) était sans risque pour la santé humaine dans les doses actuellement utilisées.
Bien que la Commission européenne ait adopté, en 2011, la directive UE n° 08/2011 qui interdit son utilisation pour la fabrication de biberons, l’AESA a donc donné son feu vert pour que les industriels continuent à utiliser le Bisphénol A dans de nombreux produits de consommation courants, depuis les lunettes de soleil et les CD jusqu'aux récipients pour l'eau et la nourriture, en passant par la plupart des tickets de caisse sur papier thermique.
Cette décision de l’AESA a été prise alors que de nombreux scientifiques ont tiré la sonnette d’alarme depuis plusieurs années sur les incertitudes nombreuses qui entourent cette molécule organique de synthèse quant à son impact sur la santé humaine.
De nombreuses études scientifiques ont en effet déjà attiré l’attention des autorités sanitaires mondiales sur les effets néfastes du Bisphénol A sur les indicateurs endocriniens. Certains de ces effets sont démontrés, tandis qu’il existe une forte présomption pour d’autres.
- Il est d'ores et déjà avéré que le Bisphénol A est un perturbateur hormonal, qui peut affecter la reproduction d'animaux de laboratoire, et qui pourrait être l’un des facteurs de délétion de la spermatogenèse chez l'homme.
- Dès 1996, le chercheur Frederick Vom Saal de l’Université du Missouri a ainsi découvert que le Bisphénol A perturbe l’appareil génital des souris mâles. Le 17 décembre 2012, des chercheurs français ont publié, dans la revue Plos One, une première démonstration expérimentale des effets néfastes de ce composant chimique sur la fertilité masculine.
- Selon d’autres études, un taux urinaire élevé de ce produit est corrélé avec un risque plus élevé de maladies cardio-vasculaires, d'anomalies du bilan hépatique, de moindre efficacité de chimiothérapies chez les patients cancéreux, et d'altération de l'émail dentaire.
En passant toutes ces études par pertes et profits, l’Agence européenne AESA vient de prendre le contrepied complet de l’Agence française ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) – dont les réserves sur le Bisphénol A ont conduit le législateur français à l’interdiction de ce composé antioxydant et plastifiant dans tous les contenants alimentaires en France depuis le 1er janvier 2015.
La décision de l’AESA contredit également d’autres législations nationales restrictives, comme celles du Danemark, de la Belgique ou de la Suède.
En agissant ainsi, l’Agence européenne prouve une nouvelle fois qu’elle fait passer des considérations financières et l’intérêt privé de quelques groupes de pression avant la protection des citoyens et l’application du principe de précaution.
Selon plusieurs observateurs, cette décision de l’AESA qui piétine le principe de précaution résulterait du lobbying intensif joué en coulisses par des entreprises de l’industrie plastique (http://www.usinenouvelle.com/article/l-europe-dedouane-le-bisphenol-a-et-rejouit-les-lobbies.N308960 ) - et notamment par leur groupement européen « PlasticsEurope » - afin d’arracher une expertise favorable de l’AESA sur le Bisphénol A. « PlasticsEurope » a même développé et financé un site internet entièrement dédié à la promotion de la molécule auprès du grand public (http://www.bisphenol-a-europe.org/ ) .
Quoi qu'il en soit, la Commission européenne a aussitôt emboîté le pas de l’AESA, en annonçant qu’elle allait réexaminer la réglementation en vue de « possibles » adaptations, qui pourraient contraindre la France, le Danemark, la Belgique ou la Suède à revenir sur leurs législations protectrices ( http://www.ouest-france.fr/bisphenol-lautorite-europeenne-le-blanchit-provisoirement-3131058 )
La Commission a précisé qu’elle fondera sa position non seulement sur l’avis rendu par l’AESA mais également sur « les règles relatives à la libre circulation des marchandises ».
La méthode adoptée par les institutions européennes et les groupes de pression qui y exercent leur influence pour imposer progressivement et subrepticement le Bisphénol A se retrouve dans tous les secteurs de la vie économique.
C’est toujours par la « méthode communautaire » des « petits pas » vantée par les « pères fondateurs » que, par exemple, les institutions européennes cherchent à imposer depuis des années les OGM aux Français et qu’elles ont ouvert une nouvelle et grave brèche dans cette direction le 13 janvier dernier ( http://www.lemonde.fr/planete/article/2015/01/14/la-culture-des-ogm-autorisee-dans-l-union-europeenne_4556166_3244.html ).
L’UPR rappelle que la logique marchande, consumériste et productiviste, omniprésente dans les actes juridiques de l’Union européenne, est inscrite dès l’origine dans les traités européens, qui ne peuvent pas être changés de manière significative. ( http://www.dailymotion.com/video/xh9x8z_u-p-r-pourquoi-l-europe-est-elle-comme-elle-est-22-01-11_news ).
C’est pourquoi la France ne pourra renouer avec le progrès social et humain qu’en rompant définitivement avec la prétendue « construction européenne » qui, par ailleurs, ruine son économie.
L’UPR souligne également que le traité sur le Grand marché transatlantique affaiblira encore davantage les législations nationales protectrices de leurs citoyens et de l’intérêt général en permettant aux firmes multinationales de faire valoir leurs volontés par le biais de juridictions arbitrales.
Réforme territoriale, Bordeaux Métropole ...
Ça y est, c'est arrivée, nous sommes maintenant Bordeaux Métropole !
Finie la CUB, c'était vieillissant et poussiéreux. Maintenant, Bordeaux
métropole, ça en jette !!
Une grande opportunité selon Juppé, la chance d'une « impulsion nouvelle » selon Balladur, on fera même des économies, parait-il ! Mais qu'est-ce que c'est exactement que Bordeaux métropole ? L'idée vient du comité Balladur créé par Sarkozy sur les réformes territoriales. Parce que allez savoir pourquoi depuis pas mal d'années, on ne sait pas trop ce qu'on veut changer ni comment le changer ni pour quel résultat final, mais ce dont on est sur, c'est qu'il faut changer les frontières administratives de nos entités territoriales ! Le mythique mille feuille prononcé déjà par tous les politico-opportunistes. Alors voilà arrivée la réforme territoriale ! La réforme territoriale, c'est ce truc que les peuples de France métropolitaine justement ont toujours refusé par consultation référendaire. L'Alsace [A] ou la Corse [C]. Mais qu'à cela ne tienne, il suffit de faire en sorte de supprimer le référendum. On dépose discrètement un amendement pendant l'été 2013 (pendant l'été c'est toujours plus discret), et hop le tour est joué [1].
C'est de cette manière qu'on arrive aujourd'hui à la France à 13 régions.
Mais en plus avec la MAPTAM, nous avons hérité de métropoles créées par décret [2] ! Et voici la France gratifiée de 9 métropoles en plus de Paris, Marseille et Lyon, où les peuples n'ont pas été invité à s'exprimer. Tout n'est pas figé, des discutions sont en cours en ce moment même sur les amendements au sénat [3] et au passage on entérine les nouvelles régions [4]. Ainsi, alors que nous ne savons pas encore toutes les compétences qui seront transférées [5], à terme, nous assisterons à la disparition des départements là ou existe une métropole, comme en Gironde [6]. C'est ce que prônais dans sa commission pour libérer la croissance [7] le désastreux banquier Jacques Attali [8]. C'était selon lui les départements qui retenaient la croissance prisonnière, alors ils vont soit disparaître soit fusionner dans une structure qui pour nous est Bordeaux métropole.
Quand des Français se lamentent de devoir passer par Paris pour traverser transversalement la France, et bien c'est la même chose au niveau de la Gironde. Si déjà une entité départementale où le rural est représenté dans une certaine proportion n'arrivait que très peu à défendre ses intérêts, comment un conseil métropolitain (dont on ignore encore le mode d'élection), le fera-t-il, et pire, comment pourra-t-il en avoir la volonté ? La France est jacobine !! Combien de fois avez-vous entendu cela d'un air agacé, de la bouche d'Alain Rousset, le président des régions de France ? Et bien l'Aquitaine est déjà jacobine à son niveau, avec une seule ville d'importance. Aujourd'hui, avec ces réformes, elle ne saurait plus prendre un autre chemin. Nous centralisons tout sur Bordeaux métropole et la façonnons dans un modèle anglo-saxon.
Quand ce modèle sera achevé, que restera-t-il de notre maillage du territoire de la continuité du service public, de la vie en milieu rural, toutes ces valeurs intrinsèques que la République défend ? Rien ! Tout cela sera rasé sur l'autel de la concurrence européenne. Car ils auront beau notifier des spécificités à protéger, comment avec moins de représentativité, une meilleure défense existerait ? Déjà avec Macron, rapporteur de la commission Attali, nous allons par exemple libéraliser les transports. Le privé ne prendra que des lignes rentables naturellement, ce qui rendra encore plus chères les lignes non rentables. Celle-ci devront, et se faire plus rares, quand elles ne disparaitront pas, et être d'avantage subventionnées par nos impôts, n'ayant plus la manne des grandes lignes pour s'équilibrer. On appelle pas cela créer de l'emploi, on appelle cela détruire le modèle français.
La conséquence, vous l'avez déjà compris, nos impôts vont encore augmenter. Privatisons les profits, nationalisons les pertes ! Quelle grande victoire, bravo ! La concurrence européenne est le maître mot de ces réformes, c'est ce que prétendent nos chers élus. Il faut réformer tout cela pour que Bordeaux métropole ait une taille européenne (de même pour la nouvelle région) et puisse concurrencer les autres métropoles (et régions) européennes ! Et comme tout ce qui est fait sous prétexte européen, ce sera encore une fois au détriment des peuples.
Gian-Luigi Armentano
[A]http://www.lefigaro.fr/politique/2013/04/07/01002-20130407ARTFIG00227-par-referendum-l-alsace-dit-non-a-la-fusion-des-collectivites.php
[C]http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/2013/03/31/il-y-10-ans-la-corse-dit-non-par-referendum-la-collectivite-territoriale-unique-226077.html
[1]http://www.contrelacour.fr/reforme-territoriale-referendum/
[2]http://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_de_modernisation_de_l%27action_publique_territoriale_et_d%27affirmation_des_m%C3%A9tropoles
[3]http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis%2FLOCActu%2FArticleActualite&cid=1250268289170&jid=1250268289079
[4]http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis%2FLOCActu%2FArticleActualite&jid=1250268289079&cid=1250268288539
[5]http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=3&cad=rja&uact=8&ved=0CC0QFjAC&url=http%3A%2F%2Fwww.interieur.gouv.fr%2Fcontent%2Fdownload%2F9833%2F92560%2Ffile%2Fguide_rct_metropole.pdf&ei=9TfAVJqHGMOvUeL_gqAO&usg=AFQjCNFhXkrsiUbH4JLAQrRO287Vqfv__g&sig2=cZLPI0YFlmtS2fvk-TWHKw&bvm=bv.83829542,d.ZGU
[6]http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/20/1995179-fusion-des-regions-les-questions-qu-on-se-pose-encore.html
[7]http://www.ladocumentationfrancaise.fr/var/storage/rapports-publics/084000041/0000.pdf
[8]http://www.lesechos.fr/16/07/1993/LesEchos/16433-015-ECH_l-audit-de-gestion-de-la-berd-accable-jacques-attali.htm
Pour les bons élèves qui ont lu et vérifié les sources, une vidéo sur la réforme territoriale avec l'analyse du colonel Chamagne, spécialiste des question de défense à l'UPR, et ancien commandant de la BA 106 de Mérignac :
http://youtu.be/Xh6uw6J0TJU
Une grande opportunité selon Juppé, la chance d'une « impulsion nouvelle » selon Balladur, on fera même des économies, parait-il ! Mais qu'est-ce que c'est exactement que Bordeaux métropole ? L'idée vient du comité Balladur créé par Sarkozy sur les réformes territoriales. Parce que allez savoir pourquoi depuis pas mal d'années, on ne sait pas trop ce qu'on veut changer ni comment le changer ni pour quel résultat final, mais ce dont on est sur, c'est qu'il faut changer les frontières administratives de nos entités territoriales ! Le mythique mille feuille prononcé déjà par tous les politico-opportunistes. Alors voilà arrivée la réforme territoriale ! La réforme territoriale, c'est ce truc que les peuples de France métropolitaine justement ont toujours refusé par consultation référendaire. L'Alsace [A] ou la Corse [C]. Mais qu'à cela ne tienne, il suffit de faire en sorte de supprimer le référendum. On dépose discrètement un amendement pendant l'été 2013 (pendant l'été c'est toujours plus discret), et hop le tour est joué [1].
C'est de cette manière qu'on arrive aujourd'hui à la France à 13 régions.
Mais en plus avec la MAPTAM, nous avons hérité de métropoles créées par décret [2] ! Et voici la France gratifiée de 9 métropoles en plus de Paris, Marseille et Lyon, où les peuples n'ont pas été invité à s'exprimer. Tout n'est pas figé, des discutions sont en cours en ce moment même sur les amendements au sénat [3] et au passage on entérine les nouvelles régions [4]. Ainsi, alors que nous ne savons pas encore toutes les compétences qui seront transférées [5], à terme, nous assisterons à la disparition des départements là ou existe une métropole, comme en Gironde [6]. C'est ce que prônais dans sa commission pour libérer la croissance [7] le désastreux banquier Jacques Attali [8]. C'était selon lui les départements qui retenaient la croissance prisonnière, alors ils vont soit disparaître soit fusionner dans une structure qui pour nous est Bordeaux métropole.
Quand des Français se lamentent de devoir passer par Paris pour traverser transversalement la France, et bien c'est la même chose au niveau de la Gironde. Si déjà une entité départementale où le rural est représenté dans une certaine proportion n'arrivait que très peu à défendre ses intérêts, comment un conseil métropolitain (dont on ignore encore le mode d'élection), le fera-t-il, et pire, comment pourra-t-il en avoir la volonté ? La France est jacobine !! Combien de fois avez-vous entendu cela d'un air agacé, de la bouche d'Alain Rousset, le président des régions de France ? Et bien l'Aquitaine est déjà jacobine à son niveau, avec une seule ville d'importance. Aujourd'hui, avec ces réformes, elle ne saurait plus prendre un autre chemin. Nous centralisons tout sur Bordeaux métropole et la façonnons dans un modèle anglo-saxon.
Quand ce modèle sera achevé, que restera-t-il de notre maillage du territoire de la continuité du service public, de la vie en milieu rural, toutes ces valeurs intrinsèques que la République défend ? Rien ! Tout cela sera rasé sur l'autel de la concurrence européenne. Car ils auront beau notifier des spécificités à protéger, comment avec moins de représentativité, une meilleure défense existerait ? Déjà avec Macron, rapporteur de la commission Attali, nous allons par exemple libéraliser les transports. Le privé ne prendra que des lignes rentables naturellement, ce qui rendra encore plus chères les lignes non rentables. Celle-ci devront, et se faire plus rares, quand elles ne disparaitront pas, et être d'avantage subventionnées par nos impôts, n'ayant plus la manne des grandes lignes pour s'équilibrer. On appelle pas cela créer de l'emploi, on appelle cela détruire le modèle français.
La conséquence, vous l'avez déjà compris, nos impôts vont encore augmenter. Privatisons les profits, nationalisons les pertes ! Quelle grande victoire, bravo ! La concurrence européenne est le maître mot de ces réformes, c'est ce que prétendent nos chers élus. Il faut réformer tout cela pour que Bordeaux métropole ait une taille européenne (de même pour la nouvelle région) et puisse concurrencer les autres métropoles (et régions) européennes ! Et comme tout ce qui est fait sous prétexte européen, ce sera encore une fois au détriment des peuples.
Gian-Luigi Armentano
[A]http://www.lefigaro.fr/politique/2013/04/07/01002-20130407ARTFIG00227-par-referendum-l-alsace-dit-non-a-la-fusion-des-collectivites.php
[C]http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/2013/03/31/il-y-10-ans-la-corse-dit-non-par-referendum-la-collectivite-territoriale-unique-226077.html
[1]http://www.contrelacour.fr/reforme-territoriale-referendum/
[2]http://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_de_modernisation_de_l%27action_publique_territoriale_et_d%27affirmation_des_m%C3%A9tropoles
[3]http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis%2FLOCActu%2FArticleActualite&cid=1250268289170&jid=1250268289079
[4]http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis%2FLOCActu%2FArticleActualite&jid=1250268289079&cid=1250268288539
[5]http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=3&cad=rja&uact=8&ved=0CC0QFjAC&url=http%3A%2F%2Fwww.interieur.gouv.fr%2Fcontent%2Fdownload%2F9833%2F92560%2Ffile%2Fguide_rct_metropole.pdf&ei=9TfAVJqHGMOvUeL_gqAO&usg=AFQjCNFhXkrsiUbH4JLAQrRO287Vqfv__g&sig2=cZLPI0YFlmtS2fvk-TWHKw&bvm=bv.83829542,d.ZGU
[6]http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/20/1995179-fusion-des-regions-les-questions-qu-on-se-pose-encore.html
[7]http://www.ladocumentationfrancaise.fr/var/storage/rapports-publics/084000041/0000.pdf
[8]http://www.lesechos.fr/16/07/1993/LesEchos/16433-015-ECH_l-audit-de-gestion-de-la-berd-accable-jacques-attali.htm
Pour les bons élèves qui ont lu et vérifié les sources, une vidéo sur la réforme territoriale avec l'analyse du colonel Chamagne, spécialiste des question de défense à l'UPR, et ancien commandant de la BA 106 de Mérignac :
http://youtu.be/Xh6uw6J0TJU
Réforme de l'éducation nationale et restriction budgétaire
Ce vendredi une manifestation contre cette décision a eue lieu, allant de l'école Jean Monnet jusqu'à l'inspection académique [A]. Des parents d'élèves ont décidé de bloquer l'école à partir de lundi prochain car ils craignent de ne pas être entendus.
la manifestation sur les boulevards
On peut trouver cette décision plutôt étrange voire complétement irrationnelle. En effet les deux autres écoles maternelles toutes proches sont bien en REP, et les collèges voisins de Bordeaux-nord également. Mais l'inspection académique a décidé de rattacher l'école au collège de Bruges qui lui n'est pas en REP, ce qui éjecte d'office l'école Jean Monnet de la REP.
On a peur d'imaginer là une coupe quasi hasardeuse pour entrer dans les budgets prévus. Le gouvernement nous a pourtant dit que la réforme servait à gommer les inégalités et qu'au ministère on savait que la condition sociale engendrait des disparités dans l'accès aux études supérieures et qu'il fallait veiller à y palier: « La politique d’éducation prioritaire a pour objectif de corriger l’impact des inégalités sociales et économiques sur la réussite scolaire par un renforcement de l’action pédagogique et éducative dans les écoles et établissements des territoires qui rencontrent les plus grandes difficultés sociales. » [B]
On sait qu'il y a une grande disparité entre les revenus fiscaux moyens de Bruges et ceux des Aubiers, près de 10000€ par foyer par an. [C]
En rouge, le collège de Bruges, en blanc l'école Jean Monnet. |
Et comme si ça ne suffisait pas, cette décision est d'autant plus ridicule que le quartier des Aubiers est dans la liste des quartiers prioritaires de la politique de la ville décrétée par Valls et le ministre de la ville au 30 décembre 2014 [1][2].
En haut, au centre le quartier des Aubiers classé prioritaire |
A cela, on peut ajouter les 97% d'élèves dont le français n'est pas la langue maternelle, la présence d'une CLIN, (classe d'initiation pour élève non francophone), et le départ après 40 ans de présence du directeur qui a donc connu parfois trois générations d'élèves et qui avait la confiance des parents.
Pour toutes ces raisons, on ne peut comprendre pourquoi enlever l'école Jean Monnet de son statut d'éducation prioritaire, ni pourquoi la rattacher au collège de Bruges, si ce n'est une coupe autant aveugle que ridicule au faux prétexte de mixité sociale mais dont le collège comme référent est loin d'être pertinent et de tenir compte des réalités du terrain.
Le problème fondamentale dans ces réformes, c'est qu'elles s'étudient avec un pistolet sur la tempe; Je ne vais pas entrer dans le détail des changements, d'autres personnes et articles le font déjà très bien. Le problème que je veux soulever est celui-ci. Il faut s'atteler à améliorer l'école et à s'occuper des élèves supplémentaires, avec un budget qui n'en est pas proportionnel. Comment peut-on aujourd'hui sortir des écoles de zones d'éducation prioritaires ? Et bien, tout simplement pour sauver l'euro. Sacré raccourci me direz-vous, alors voyons un peu plus loin.
Il n'a échappé à personne que nous sommes dans un climat de restriction budgétaire. On rogne sur tous les budgets d'un côté et on augmente tous les impôts de l'autre. Tout cela a bien un objectif. Entrer dans les critères que nous demande la commission européenne. D’où viennent ces critères ? Pourquoi existent-ils ?
Pour que l'euro puisse avoir une chance d'être pérenne, l'UE a mis en place, dans le traité de Maastricht, des critères de convergence. Ce sont des mesures qu'il fallait respecter pour intégrer la zone euro, et continuer de respecter par la suite pour que cette zone soit durable. Notons qu'aujourd'hui plus aucun pays ne respecte ces critères (pas même la sacro-sainte exemplaire Allemagne) !
En plus de ces mesures et pour concilier les politiques de chaque pays, la commission européenne adresse chaque année à chaque pays des recommandations qui fixent les grandes orientations de politiques économiques (GOPE). Ces grandes orientations ont le même objectif que les critères de convergences (dit de Maastricht). Il s'agit de donner une direction aux pays afin que tous, chacun de leur côté, se réforment vers une législation identique et ultra-libérale. De manière générale, nos acquis sociaux sont un problème pour ces recommandations, ainsi que les dépenses de l’État et donc les services publics. En lien plus bas, un article plus détaillé sur ces recommandations pour la France pour 2014-2015 [3].
Le gouvernement a promis récemment à Bruxelles qu'il ferait des économies pour 50 milliards d'euro afin de respecter ces recommandations. Mais Bruxelles a estimé que c'est trop peu [4]. Tout est négociation et s'il est une chose qui est évidente, c'est que notre gouvernement ne décide plus de son budget lui-même. la France n'est donc plus un État souverain. Un État non souverain, cela s'appelle une colonie. Et les ordres à la colonie sont une période de restriction budgétaire parce qu'il faut limiter le déficit pour pérenniser l'euro.
Ainsi, on peut largement considérer au vu de ces points que la décision prise concernant l'école Jean Monnet du quartier des Aubiers de Bordeaux-Lac a été prise pour sauver l'euro. Nous sommes arrivé à une situation où l'on se sert d'un peuple (et de ses enfants) comme outil pour sauver une monnaie. Dans une société saine, a contrario, la monnaie est un outil qui doit servir le peuple. On marche sur la tête !
Nos enfants et leur avenir sont donc sacrifiés pour l'euro. C'est moins voyant que pour les Grecs. C'est plus discret que pour les Espagnols. Moins à la une qu'en Italie où les journaux n'ont pas peur de montrer le taux de suicide qui explosent pour raisons économiques. Mais ce n'est pas un raccourci, c'est juste une triste vérité !
Nos enfants ne doivent pas être les victimes ni les variables d'ajustement d'une monnaie dont l’État ne maîtrise pas la politique !
Gian-Luigi Armentano
[A]http://www.sudouest.fr/2015/02/06/bordeaux-colere-a-l-ecole-jean-monnet-1822920-2780.php
[B]http://www.education.gouv.fr/cid187/l-education-prioritaire.html
[C] http://www.kelquartier.com/aquitaine_gironde_commune_bordeaux_33300-c33063/revenu_moyen.html
[1]http://www.legifrance.gouv.fr/jopdf/common/jo_pdf.jsp?numJO=0&dateJO=20141231&numTexte=183&pageDebut=23744&pageFin=23771
[2]http://www.ville.gouv.fr/?geographie-prioritaire-de-la
[3]https://www.upr.fr/actualite/europe/les-gope-grandes-orientations-politique-economique-feuille-route-economique-matignon
[4]http://www.lesechos.fr/journal20141120/lec1_monde/0203949473007-budget-bruxelles-devrait-demander-a-paris-de-faire-davantage-deconomies-1066208.php
Inscription à :
Articles (Atom)